Présentation de l’écriture automatique : Le monde des vivants demeure complété par le monde des morts. A travers des esprits, ces derniers peuvent ainsi communiquer avec des professionnels de l’ésotérisme à l’image des médiums. Voici un focus sur : L’écriture automatique mais aussi comment faire de l’écriture automatique et les pistes pour éviter les dangers de l’écriture automatique et le bas astral.

On distingue le médium des arts ésotériques (cartomancie, numérologie, astrologie…) car il a la capacité de travailler sans support de lecture. Ainsi le médium peut capter les intentions des esprits directement mais aussi les grandes lignes de la destinée d’une personne.
Pourquoi faire de l’écriture automatique ?
En complément, L’écriture automatique permet de cibler les intentions des défunts sans pour autant utiliser un médium spirit. Pour communiquer avec les esprits, la personne en question doit demeurer réceptive ! Par le biais d’un rédacteur, un esprit va prendre le contrôle du crayon et il va déverser ses pensées.
Comment faire de l’écriture automatique
Ainsi la main de la personne va bouger de façon automatique et elle va tracer des mots. Attention, ces écrits peuvent parfois être dans une langue étrangère ou en vieux français. Tout dépend de l’esprit qui demeure à l’autre bout de plume.
Communiquer avec les esprits pour avoir des révélations
L’écriture automatique a pour atout de révéler des informations importantes comme par exemple une explication de disparition, un état d’esprit du défunt de l’autre côté de la barrière ou des conseils à l’intention des vivants. L’écriture automatique va créer de façon provisoire un canal de communication. En effet certains morts demeurent tourmentés par des messages qu’ils ne peuvent porter à leur proche. Ainsi, l’écriture automatique permet parfois d’apaiser les âmes des vivants comme des morts.
Il est à noter que certains messages concernent parfois d’autres personnes et il est toujours important de bien les transmettre.
COmment faire une séance d’écriture automatique ?
L’écriture automatique implique du calme et de la sérénité. Avant la séance, videz votre esprit avec une séance de méditation. Préparez ensuite votre table de travail en disposant quelques cristaux magiques et un cahier. Sélectionnez ensuite un stylo avec lequel vous avez l’habitude de travailler.
Avant de débuter l’écriture, invoquez à haute voix l’esprit que vous souhaitez entendre. Cette invocation ne fonctionne pas toujours mais elle permet d’orienter la séance et notamment au niveau de l’âge de l’esprit qui prendre la plume.
Si vous invoquez votre grand-mère défunte, l’esprit rédacteur pourra être par exemple son ancienne meilleure amie ou la sage-femme qui l’a aidé à mettre au monde son premier enfant. L’invocation va ancrer la passerelle dans une temporalité et une thématique réelle.
Quels sont les dangers de l’écriture automatique ?
Les dangers de l’écriture automatique demeurent son extrême imprévisibilité. Des esprits mauvais du bas astral peuvent ainsi venir perturber la séance. Or ces esprits n’ont pas pour objectif d’aider les vivants en délivrant leurs messages. Ils veulent soit causer la perte des personnes concernées soit prendre possession du rédacteur.
Ainsi, lors du début de séance si vous sentez un souffle proche de vous ou des picotements dans la main qui écrit, vous devez immédiatement stopper la séance. C’est le signe que les esprits du bas astral tentent de rentrer dans votre univers.
Communiquer avec les esprits demeure toujours dangereux (le bas astral) et il vaut mieux s’entourer de professionnels en matière d’ésotérisme. Vous pouvez donc réaliser votre séance avec près de vous un pendule dans votre autre main. En cas de mouvement du pendule, il faut stopper la séance car c’est la preuve que les dangers de l’écriture automatique et le bas astral sont réels.
Exemple de séance d’écriture automatique
L’écriture automatique donne des résultats très inégaux à l’image par exemple de ce fragment qui a été remonté par un rédacteur suite à une séance de 15 minutes. Voici le texte « Tu lui diras de pardonner. La voiture n’était pas visible. Tu lui diras de pardonner. Je suis partie sans voir le noir. » En réalité, lors de cette séance, c’est l’arrière petite nièce de la rédactrice – écrasée dans un accident à l’âge de 8 ans – qui a pris la parole.